NEMO l'outil de l'udi d'émargement des stagiaires

Formation et Tech : L’UdI opte pour la digitalisation de l’émargement de ses stagiaires avec son nouvel outil NEMO.

L’UdI accompagne l’apprentissage des techniciens et ingénieurs des réseaux de transport ferroviaires dans leur montée en compétences. Pour satisfaire au mieux le bon déroulement de ses formations, l’UdI souhaitait innover et simplifier le suivi de celles-ci. Véritable laboratoire d’innovation, l’UdI travaille avec des startups de l’EdTech pour concevoir des outils sur-mesure. Elle a donc codéveloppé un nouvel outil : Nemo, un logiciel qui permet notamment la digitalisation de l’émargement des stagiaires. On vous explique en détails.

 

La création de NEMO
Depuis près de deux ans maintenant, l’UdI développe, en collaboration avec son partenaire KeyWeDev, l’outil NEMO qui a vocation à dématérialiser certaines de ses tâches comme l’émargement des stagiaires. Ce logiciel innovant permet de digitaliser la gestion des formations de l’UdI  et de renforcer le suivi des sessions au fur et à mesure qu’elles ont lieu tout en simplifiant la gestion administrative. Vous devez certainement vous demander pourquoi le nom « NEMO » ? On vous explique. Depuis 2018, l’UdI utilise un outil de planification nommé Octopus qui ne cesse d’évoluer et qui devient, petit à petit, le moteur de la production de l’UdI. Il a été progressivement doté d’une application dédiée aux devis, et connecté au service de facturation. Aujourd’hui une aide précieuse pour l’ensemble des services qui gèrent l’activité de l’UdI. Et cette année, Octopus a accueilli un nouvel outil NEMO, un nom qui prend tout son sens et qui lui offrent des fonctionnalités inédites.

 

Un outil qui renforce le suivi des formations de l’UdI
NEMO recense toutes les sessions de formation qui sont produites chaque jour, ce qui offre aux apprenants ainsi qu’aux formateurs une aide précieuse et simplifiée pour leurs obligations administratives. Par exemple, pour chaque demi-journée, l’outil apporte un regard sur les personnes présentes dans l’établissement et sur celles qui ont émargées. Cet outil EdTech dispose de tout ce qui est nécessaire au suivi de la production d’une session qu’il s’agisse de la liste des stagiaires, du matériel de prêt, des différentes informations à communiquer ou plus notable encore, de la feuille d’émargement digitale. Grâce à NEMO, toutes les informations, comme les arrivées des apprenants et formateurs sur le site, l’état des émargements (nécessaires aux chargés de production (AGOs)) sont accessibles en temps réel. NEMO offre également la possibilité de communiquer sous forme de message avec tous les utilisateurs de l’outil.

 

Il existe 3 manières d’émarger sur la plateforme :
– Les apprenants peuvent pointer leur nom et émarger à la demi-journée depuis une tablette disponible dans la salle de formation.
– Ils peuvent aussi se rendre sur l’application et y entrer le code de la session.
– Ou bien flasher un QR code qui sera affiché lors de la session pour accéder à la page d’émargement.

 

A la fin de chaque session, le rapport des émargements apparait dans un onglet d’Octopus auquel NEMO est pluggé. Ce document archivé constitue une preuve dématérialisée de la production de la session de formation et de la signature des stagiaires. Cela va contribuer à maintenir l’efficacité de la production : en 2021, on constatait déjà un taux de remplissage de 92%.

 

Avec NEMO, l’UdI assois son positionnement d’université innovante notamment dans la création de ses propres outils au service de la formation pour rendre l’expérience plus agréable et plus qualitative pour les apprenants et les formateurs. Et si cet outil digital est aujourd’hui en place, il reste cependant un point essentiel à finaliser : l’arrêt définitif de l’émargement papier. L’objectif est de pouvoir dématérialiser l’émargement pour toutes les formations notamment en distanciel d’ici quelques mois. NEMO continuera donc d’évoluer au fur et à mesure de son existence. On pourrait d’ailleurs assister à son automatisation très prochainement. L’outil pourrait alors être capable d’envoyer automatiquement des mails.